Une petite nouvelle?

Le temps c'était arrêté depuis si longtemps qu'on en avait même oublié l'existence à Psycadélice. Madame le Maire se trouvait dans sa bibliothèque allongée à la manière des pharaons sur son divan. Dans le manoir pas un bruit ne se faisait entendre, les domestiques se faisaient comme pour ainsi dire aussi petits que des souris. Elle portait une longue robe noir en satin, sur son corset un géant papillon bleu ciel semblait s'être posé. Le livre qu'elle semblait lire était tellement intéressant qu'elle finit par s'endormir. Elle sentait ses paupières tellement lourdes qu'elle n'avait pu échapper aux bras de Morphée. Elle n'avait pas attaché ses longs cheveux blancs, sa main gauche tenait encore son livre qui était sur sa poitrine à présent. Le dos de sa main droite touchait le sol fait de pierre polis, des tapis imposant le recouvrait de par et autre. Alors qu'elle commençait à tomber dans le moment le plus profond de son sommeil la sonnette d'entrée de son manoir venait de retentir dans la demeure et avait brisé le doux silence qui s'était confortablement bien installé. Elle ouvrit alors un œil guettant la pièce de fond en comble. La petite table sur laquelle était posé son calice de sang n'avait pas bougeait, les vitraux procuraient toujours un peu d'éclairage à la pièce, son chandelier quant à lui semblait faiblir. De son bras maigre elle chercha son verre de sang frai, elle était encore à moitié endormit et ses gestes ne semblaient pas avoir de sens. Elle finit par attraper son précieux élixir et en avala quelques gorgés.

*Non d'un lièvre de Mars... Qui vient donc troubler mon doux repos à l'heure de la sieste?! Celui ci à tout intérêt à avoir une bonne raison, car je me ferais un plaisir de lui faire perdre la tête s'il n'en à pas!*

C'est avec lourdeur qu'elle se leva de son divan, elle frotta ses yeux puis posa le livre près de la carafe de sang. Elle avait encore les yeux à demi-clos et elle restant un instant ainsi assise à regarder dans le vide. L'un de ses domestiques frappa à la porte et lui annonça la venue de la nouvelle recrue. La maîtresse de la demeure poussa un long soupire puis ordonna à son domestique d'une voix morne de monter la jeune fille à sa chambre. Une fois que la porte se referma elle entendit le domestique monter le escalier avec la nouvelle arrivante. Elle colla son oreille à la porte pour les écouter, il lui semblait que ce domestique lui volait à manger dans la cuisine. Une fois qu'elle ne pu plus les entendre elle s'étira et bailla deux trois fois. Décidément elle avait du mal à se réveiller cette fois. Elle finit quand même par sortir de sa bibliothèque et gravit avec toute sa plus grande lenteur les marches de l'escalier qui menait vers les chambres des domestiques au grenier. Elle s'arrêta un instant devant la vitrine d'armurerie dans laquelle était entreposé les plus fines épées de ses aïeux. Elle passa son doit sur le rebord du meuble, la poussière était tellement épaisse que le bout de son doigt était devenue gris. Elle leva un de ses sourcils puis essuya son doigt sur un des draps gris qui couvraient les meubles du grenier.

*Hum... La poussière gagne du terrain ici... Il faudrait peut-être penser à nettoyer ce grenier... M'enfin on verra cela un autre jour, je suis pas d'humeur à me fatiguer la voix en ce moment.*

Elle joignit ses mains dans son dos puis s'avança dans l'encadrement de la porte des domestiques. Elle s'éclaircit la voix pour que son domestique lui laisse à présent prendre la parole face à la nouvelle venue. Son visage exsangue était froid et creux, ses long cheveux gris-blancs lui retombait sur ses fines épaules, son corps était frêle et ses lèvres étaient peintes d'un léger bleu. Sa voix était encore plus froide et sec que son visage, pas la moindre émotion semblait exister en elle. Elle était droite comme un piquet et ses mains fines et longues semblaient n'avoir jamais servit à quelques choses tellement elles étaient bien entretenues.

-Bienvenue chez Moi, je suis comme tu devrais le savoir le Maire de cette ville et je tiens à ce que ma loi soit exécuté avec le sourire et la bonne humeur. M'enfin... Trêve de blablatage, Wiston a du t'expliquer tout ce que tu devras faire ici et ne pas faire. Donc je viens donc à ma question suivante... Comment va donc ton père Mr O'malley c'est bien ça ?

Son regard était vide et comme dépourvu d'énergie. Elle guettait la jeune fille face à elle de la tête aux pieds. Les domestiques chez-elle devaient être irréprochables et diaboliquement parfaits.

La voiture s'arrêta devant le manoir sombre et imposant de madame le maire Dorothy Butterfly. Le conducteur descendit, calma les chevaux qui piaffaient d'impatience et ouvrit la porte pour laissé descendre sa passagère, une jeune fille à la silhouette hélancé et aux cheveux couleurs de lune. Elwyn O'malley pris soin de ne pas tomber une fois de plus en descendant comme il lui arrivait à chaque fois, au grand damn de ses parents. Elle entendait encore sa mère lui dire:

*Ce n'est vraiment pas possible! Quand vas tu apprendre à te tenir convenablement? Regardes ton frère, prend exemple sur lui! Est ce qu'il tombe à tout bout de champs? Non! Est ce qu'il prend cet air idot que tu as là? Non! Mais qu'est ce quon va faire d toi hien?!*

Le chauffeur l'aida tout de même à descendre et déposa ses baguages à côté. Au même moment, un homme sortit du manoir et alla à sa rencontre. il était plutôt grand et assez mince mais son air suffisant ne lui donné pas l'impression d'être simpathique.

"Vous êtes Mlle O'malley c'est bien cela?
-Euh oui, bonjours, je...
-Votre père vous a envoyé ici en tant que domestique si je ne me trompe pas.
-Oui, mais...
-Alors suivez moi je vous pris, il ne faut pas perdre de temps, madame le maire ne supporte pas les retards."

Elle allait se retourner pour prendre ses valises mais elle avaient déjà disparus.

*Mais où peuvent-elles être? Jasper les avaient pourtant posées à côté...*

"Une problème? Dépêchez-vous, ne perdons pas de temps!
- Mais...mes baguages où sont-ils?
- Quelqu'un a dû les amener à l'intérieur. Allez pressons!"

*Bizarre... et pas très simpathique non plus.*

Elle suivit le majordome qui rentrait déjà à l'intérieur. Le hall était immense est décoré bizarrement selon elle. L'homme l'attendait au pied du plus grand et plus large escalier qu'elle eut jamais vu, imposant au milieu de cette pièce.

"Bien maintenant que vous êtes entré, je vais vous expliquer les règnles de madame le maire. 1) Ne jamais parler sans y avoir été invitée.
2) Vous devez être irréprochable dans ce que vous faites.
3) Une tenue toujours impeccable.
4) Adressez-vous respectueusement à madame le maire même si sa façon de vous traiter ne vous convient pas.
Et 5) La plus importante, soyez très ponctuelle. Madame le maire ne supporte aucun retard et au moment où elle vous appelle, abandonner ce que vous êtes en train de afire et allez la voir tout de suite! Et si jamais vous veniez à sortir, que ce soit dans le jardin ou en ville, n'importe où, prévenez là! Est ce que vous avez bien compris?
- Euh oui monsieur.
- Winston, c'est monsieur Winston. Ne vous inquiétez pas, vous vous habiturez vite à la façon de vivre de manoir. Bien, maintenant je vais vous montrer votre chambre. Un autre majordome vous montrera le reste du manoir ou alors madame le maire elle même. Suivez moi."

Tandis qu'Elwin montait les marches du grand escalier, en attendant Winston, elle se surpris à repensser à ce que lui avait dit son père:

*Je t'ai fait embaucher pas Mme Dorothy Butterfly le maire de Psycadélice. Ce sera mieux pour nous tous. Au moins l'honneur de notre famille ne sra pas entaché par ta faute et nous n'aurons plus à te supporter avec tout les problèmes que tu nous apporte. Tu verras, elle sera sûrement très gentil avec toi*
*Pour le moment l'accueil n'est pas très chaleureux*

Pendant qu'elle restait là, perdue dans ses pensées, Winston se dirigea vers une porte, prit soin de frapper avant et entra le plus discrètement possible à l'intérieur. Il se mit à parler à quelqu'un. Elwin n'entendit pas ce qu'il disait ni à qui il parlait car son attention fut attiré par un tableau dont la longeur était vertigineuse. On y voyait une femme imposante, belle, qui avait l'air plutôt jeune et arborait un sourire sournois. Sa robe noir, où un papillon semblait y avoir élu domicile était vraiment magnifique.

*Ce doit être Mme le maire...Je me demande qaund est ce que je la rencontrerai...*

Elle sortit de sa comptemplation quand Winston passa devant elle. Elle le suivit et ensemble ils montèrent le grand escalier et arrivèrent au premier étage à la décoration tout aussi bizarre que la première. Puis ils se dirigèrent vers un autre escalier moins impressionnant que le précédent mais tou aussi remarquable. Celui-ci était beaucoup plus long et menait à un ensemble de pièces sombres et poussiéreuses.

" Pas ici je vous pris. Voici le grenier, votre chambre. Peut être que l'on vous assignera un autre endroit mais pour le moment ce sera celui-ci"

Elwyn Observa la pièce dans laquelle elle venait de pénétrer. Elle était plus sombre que les pièces précédentes et plus poussiéreuse encore. Le mobilier était vraiment rudimentaire comparé à sa précédente chambre. Un lit, une table de chevet, un bureau, deux chaises, et un lavabo voila de quoi était composé la pièce en plus de la petite fenêtre située au dessus du lit. Soudain, elle vit Winston se retourner brutalement vers la porte. Quand elle se retourna à son tour, la femme du tableau qu'elle avait admirée tout à l'heure venait de se matérialiser devant elle et l'observée attentivement...

Madame le maire resta ainsi face à la jeune fille sans dire le moindre mot, une étrange atmosphère froide et sombre se faisait subitement sentir dans la salle. Le domestique quitta sans rien dire les lieux, la tête basse et le corps aussi droit qu’un bâton. Elle ôta doucement ses gants puis giflât le visage de sa nouvelle domestique avec ses gants. Dans les quelques secondes qui suivirent on entendit quelqu’un grimper rapidement les marches grinçantes de l’escalier. C’était Winston, un plateau en argent posé sur sa main droite et une serviette d’un blanc éclatant sur son avant bras gauche. Dorothy enfila de nouveau ses gants de velours noirs avec un maigre sourire aux lèvres, elle prit sans quitter la jeune fille des yeux sa tasse argenté. A l’intérieur un liquide noir et laissait sur les bords des traces d’un rouge éclatant. De sa main gauche elle tenait une coupelle métallique et de l’autre main la queue de sa tasse qu’elle portait à ses lèvres bleutées. Tout en buvant le doux élixir qu’elle avait en main, elle marcha dans la pièce. Sa longue robe d’un bleu nuit jonché le sol et sous chacun de ses pas on pouvait entendre le plancher grincer. On ne pouvait pas dire l’âge de Dorothy, elle avait le corps frêle d’une jeune femme ayant la vingtaine d’année, mais ses cheveux étaient blancs, seules quelques mèches grises semblaient encore apparaitre entre ses cheveux blancs. On dit que c’est après avoir sût la liaison de son fidèle amant avec une humaine qui lui aurait blanchi ses magnifiques cheveux noirs d’un seul coup. Elle s’avança vers la seule fenêtre de la pièce et approcha sa main armée de longs ongles limés en pointes vers le vieux rideau. Elle caressa du bout de ses ongles le tissu puis elle l’agrippa fortement et le tira. Elle laissa par la suite sa main glisser sur le mur, ses yeux gris bleus semblaient suivre son geste.

- L’extérieur est laid… Il ne mérite pas qu’on le voit de chez moi … Il ne mérite pas de rentrer chez moi sans mon accord. Avez-vous perdu votre langue jeune fille ? Je viens de vous demander comment se portait votre père !

Sa voix tantôt si calme devenait maintenant assez agressive, elle but une nouvelle gorgée puis se tourna face à sa nouvelle domestique en se grattant du bout de ses ongles sa gorge blanche. Ses yeux semblaient plus petits et elle avait l’air de serrer les dents. Avant même qu’elle ne put faire un geste, Winston lui avait déjà fait boire entièrement sa tasse et l’avait aussitôt resservit. Elle tenait difficilement sur ses pieds et décida de quitter les lieux. Elle tendit sa tasse à son domestique et celui-ci lui tendis une canne et posa sur ses épaules un chandail magnifique. Elle fit un sourire forcé à la jeune fille et s’avança vers la porte. Alors qu’elle allait descendre les escaliers avec Winston à son bras elle s’arrêta, releva la tête et une voix douce et charmante pu à nouveau se faire entendre.

- Je remonterais dans quelques minutes, en attend ayez l’amabilité d’installer vos affaires dans votre nouveau lieu de vie. Quand je remonterais, je souhaite que vous ayez finis de vous installer. Les affaires qui ne seront pas déballés, je les garderais pour moi.

Charmante mais tout du moins assez mesquine dans le fond. La tromperie de son amant l’avait beaucoup affectez et elle avait beaucoup de mal à faire un trait la dessus. Pour le moment elle n’avait qu’une envie c’était de détruire le fruit d’un amour qui n’acquît quelques années auparavant. Chaque pièces de son manoir lui rappeler ce traitre d’amant, chaque dalles qu’elle foulait lui rappelait les nombreux pas de danse qu’elle avait fait plutôt avec lui. Elle se torturait l’esprit en cherchant pourquoi diable elle en était arrivée là. Quelle mouche avait bien pu piquer cet homme pour qu’il la trompe ainsi elle et les êtres de Psycadélice. Il l’avait utilisé ? Non… Elle ne possédait rien qui pouvait la rendre utilisable. Dorothy refusait de croire en cette idiotie du verbe aimer. Comment un être fantastique pouvait autant s’abaisser aux rêves des humains ? L’amour … excitait il ou est ce une belle invention des humains en mal de plaisir charnel et spirituel ? Voilà depuis un bon moment que Dorothy méditait dessus…

Elwyn sentie l’atmosphère devenir froide avec l’apparition de madame le Maire. Elles restèrent ainsi à se regarder et Elwyn se sentie de plus en plus mal à l’aise. Puis soudain le silence de brisa quand Mme Butterfly parla.

"Bienvenue chez Moi, je suis comme tu devrais le savoir le Maire de cette ville et je tient à ce que ma loi soit exécuté avec le sourire et la bonne humeur. M’enfin…Trêve de blablatage, Winston a du t’expliquer tout ce que tu devras faire ici et ne pas faire. J’en vient donc à a question suivante…Comment va donc ton père, Mr O’malley c’est bien ça ?"

Cette voix était envoûtante. Elwyn resta figée devant tant de beauté. Elle voulu parlé, lui répondre, mais son corps refusait de bouger le moindre muscle.

*Dis quelques chose bon Dieu, dis quelques chose !*

Mais elle resta figée à sa place tandis que Winston quittait la pièce. Mme le Maire se mit alors à enlever ses gants, s’avança et la gifla au visage avec. Elwyn fut, sur le coup choqué. Non pas parce que, selon elle, ce geste était déplacé, mais parce que la douleur qui en émana était grande, trop grande. Elle retint un cri et ne montra aucun signe qui aurai montré qu’elle avait mal. Quelques secondes plus tard, des pas précipités se firent entendre dans l’escalier, et Winston revint avec un plateau en argent, où il y avait une tasse argenté et une coupe de métal, et une serviette blanche. Elwyn n’aurai pu dire se que contenait la tasse et la coupe. Sa maîtresse prit la tasse tout en la regardant puis fit quelques pas jusqu'à l’unique fenêtre. Elle caressa le vieux rideau puis tira dessus avec force. Quand elle se remit à parler, sa voix avait changé de ton, elle était plus dur, agressive.

"L’extérieur est laid… Il ne mérite pas qu’on le voit de chez moi … Il ne mérite pas de rentrer chez moi sans mon accord. Avez-vous perdu votre langue jeune fille ? Je viens de vous demander comment se portait votre père !"

Elwyn voulut répondre mais une fois de plus elle ne put faire un geste, trop tétanisée par la peur que lui inspirai cette femme. Un moment encore passa où Mme le Maire attendit qu’on lui réponde, mais Elwyn restée figée et continué à la regarder. Las d’attendre sûrement, Elwym vit Mme le Maire rendre sa tasse à Winston, prendre la canne que celui-ci lui tendait et se laissait mettre un châle sur les épaules. Elle se tourna vers Elwyn et avec un sourire qu’on sentait forcé, quitta la pièce au bras du majordome. Mais au seuil de la pièce, elle se retourna vers Elwyn et, avec une voix qui avait retrouvée douceur et charme, la prévint qu’elle remontrait dans quelques minutes et la priait de s’installer dans « son nouveau lieu de vie » en lui souhaitant d’avoir fini car sinon les affaires qu’elle n’aurait pas fini de déballer lui reviendrai.
Une fois sa maîtresse partie, Elwyn se sentit faillir et se laissa tomber sur le lit. Sa joue lui brûlait encore et le regard de Mme le Maire lui avait inspiré une telle peur…

*Comment une femme peut paraître aussi douce et être aussi violente l’instant d’après ?!*

Puis elle se souvint des paroles de celle-ci et se hâta de ranger convenablement chacun ses effets. Elle découvrit même une sorte de penderie pour ses vêtement dans un coin du mur, trop sombre pour qu’on puisse l’apercevoir. Elle découvrit d’ailleurs ce petit placard en allant récupérer des affaires dans sa valise et comme à son habitude elle tomba et percuta le mur où la poignée dépassait. Maintenant non seulement sa joue lui brûlait mais en plus elle avait mal au niveau des cotes !

"Faudra que je pense à marcher convenablement droit sinon la prochaine fois c’est pas avec ses gants qu’elle va me frapper mais avec sa canne !"

Elle continua de grommeler ainsi jusqu'à ce qu’elle entende des bruits de pas dans l’escalier. Elle jeta un rapide coup d’œil à sa chambre pour vérifier que rien ne traîner mais heureusement non, elle avait même réussi à ranger sa valise sous ses vêtement pendus. Tout était en ordre, elle n’aurai rien à lui reprocher. Comme les pas se rapprocher, elle se planta au milieu de la place, le sourire au lèvres comme le lui avait demandé sa maîtresse, et attendit qu’elle fasse son apparition. Il se passa quelques secondes ou Elwyn n’entendit plus rien et elle se demanda même si elle n’avait pas rêvé. Mais les pas reprirent et Mme le Maire arriva dans la chambre, le visage calme, ne montrant aucune colère. Elle observa longuement la chambre, puis ses yeux se posèrent enfin sur Elwyn. La surprise passée, celle-ci l’observa également. Personne ne savait vraiment l’age du Maire mais tous savait que cela faisait très longtemps qu’elle était à la tête de la ville. Et pourtant la personne qui se tenait devant Elwyn était jeune, trop jeune pour quelqu’un qui devait régné depuis bien avant le naissance d’Elwyn et même de ses parents.
Puisqu’elle ne pouvait parlé avant d’y avoir été invité, elle attendit que sa maîtresse lui parle et était bien décidé cette fois à lui répondre ! Elle attendit donc que celle-ci lui parle tout en réfléchissant à ce qu’elle pourrai bien lui répondre